Claudia peint, dessine, grave avec sérieux. Sa création n’est jamais le fruit d’une éclosion spontanée, mais visiblement l’aboutissement d’une réflexion profonde.

Dans la série des signes, chaque symbole a été déchiffré, interprété et revisité.
Il y a un peu du chaman sibérien chez elle, un peu du « medecin man navajo » et aussi du pasteur presbytérien.
Sa part de devination était dans sa toile appelée « la Reine et ses 3 servantes » alors que le carrelage de l’entrée de la Galerie est connu comme « la Princesse et ses servantes » dans les maisons du Maghreb.

Dans la vision de l’eau, même si le Médoc atlantique est toujours reconnaissable, il prend une autre dimension jusqu’à la petite histoire de la chaise en plastique bleu…